FAQ

Les luminaires Sammode à modules de LED sont équipés de drivers compatibles avec tous les régimes de neutre. Néanmoins, dans le cas spécifique de régimes IT, Sammode recommande l’utilisation de drivers protégés contre les pics de tension jusqu’à 4kV, pour limiter les risques de défaillances liés à une surtension. Ces drivers, sélectionnés pour leur robustesse et leur longévité, équipent notamment toutes nos gammes industrielles Xtrem.

Pour voir comment entretenir les luminaires en laiton, consulter cette page.

Il est conseillé de stocker les luminaires Sammode dans un environnement tempéré, avec des températures comprises entre 0 et 35°C et une humidité ne dépassant pas 75%, sans formation de condensation.

Les luminaires sans batterie peuvent être stockés sans risque pendant une durée maximale de 10 ans, à condition de respecter les conditions de stockage recommandées.

Les Luminaires avec batterie peuvent être stockés sans risque pendant :

•  6 mois pour les batteries NiMh
• 18 mois pour Li-ion (LiFePO4)

Au-delà de ces durées indicatives, une recharge de la batterie doit être envisagée.

C’est la capacité d’une source de lumière à restituer les couleurs d’un objet par rapport à celles produites avec une source de référence. Il est compris entre 0 et 100 (pour une lumière blanche idéale).  

 C’est la propriété d’un flux lumineux à être concentré ou aptitude d’un système optique à concentrer un flux lumineux.  

C’est la grandeur photométrique qui exprimela puissance lumineuse d’une source. C’est une grandeur fondamentale du système international. Elle est utilisée pour définir combien un point est lumineux dans une direction donnée. Elle se mesure en candela (cd).

C’est l’indice de protection contre la pénétration des corps solides et liquides.

C’est l’indice de protection mécanique, l’indice IK (énergie de choc) caractérise la résistance des enveloppes aux dommages mécaniques.

Luminaire extérieur installé sur une surface verticale (un mur par exemple). Il possède bien souvent des qualités mécaniques élevées (IP et IK).  

Système optique à lamelles métalliques (acier ou aluminium) permettant de cacher la source lumineuse à la vue de l’observateur sous un certain angle. 

Dispositif mécanique permettant d’assembler deux parties sans outils composé d’un système de crochets et de ressorts. 

 Se dit d’un luminaire sur lequel l’utilisateur peut faire varier le flux lumineux.  

Quantité de lumière émise par une source en une seconde dans toutes les directions. Il se mesure en lumen (lm).  

Elément optique sélectionnant de manière totale ou partielle les longueurs d’onde du spectre d’une source lumineuse.  

Désigne l’ensemble des rayons lumineux produit par une source dans une direction donnée.  

C’est la propriété d’un flux lumineux à être large ou aptitude d’un système optique à élargir un flux lumineux.  

 C’est la zone du diagramme de chromaticité CIE 1931 en forme d’ellipse où la couleur située au centre de l’ellipse ne peut être distinguée de toutes les autres couleurs contenues dans l’ellipse (zone de confusion colorimétrique visuelle). La taille de l’ellipse permet de déterminer la zone dans laquelle une couleur peut varier, soit à l’état initial, soit à maintenir : plus la taille est faible plus étroite sera la tolérance chromatique.

Dans un appareil d’éclairage, il s’agit du rapport entre le flux lumineux dégagé par l’appareil même et la puissance de prise. Il s’exprime en lumen par watt (lm/W).

C’est la moyenne des éclairements mesurés ou calculés dans une pièce suivant un maillage de points normatif.

C’est le rapport du flux lumineux reçu par une surface divisée par l’aire de cette surface, mesuré en lux.  

C’est une lumière directionnelle dont le faisceau est très intensif, particulièrement adapté à l’éclairage de surfaces. 

Éclairage situé le long du chemin usuel de circulation en tenant compte des zones de transition entre les tronçons d’un parcours.

 Éclairage uniforme d’une pièce qui ne tient pas compte de spécificités ponctuelles.  

Éclairage de faible intensité qui crée une ambiance douce dans une pièce ou sur un bâtiment.

C’est un éclairage localisé pour mettre en valeur un élément (produit à vendre ou forme architecturale par exemple).

Conditions de gêne ou inconfort provoquée par des luminances ou des contrastes de luminances trop élevés.

C’est un objet plastique, métallique ou céramique placé à l’extrémité du circuit électrique pour accueillir le culot d’une lampe. Il est indispensable d’adapter le type de douille au type de culot. 

Dispositif destiné à favoriserl’évacuation de la chaleur émise par la source lumineuse. 

Se dit d’un éclairage dont le faisceau est dirigé par un réflecteur.

Elément optique, translucide ou opale, capable de diffuser dans l’espace les rayons lumineux incidents sur l’espace même. 

Propriété d’une surface ou d’une matière qui dirige les rayons lumineux incidents dans tous les sens. Correspond à l’effet d’une matière opale.

C’est un détecteur qui mesure la luminosité en un point, ce qui permet en le reliant aux luminaires d’adapter le flux de ces derniers par un système de gradation afin d’avoir toujours la même quantité de lumière dans la pièce.

C’est un capteur qui émet une impulsion électrique lorsqu’un élément est en mouvement dans sa zone de détection. 

Pour les luminaires équipés de dispositifs permettant de cacher la vision de la source lumineuse (grilles de défilement), le défilement est l’angle maximal sous lequel la lampe n’est pas visible (mesuré par rapport à l’horizontale).  

 Partie arrière de la source d’éclairage qui se loge dans la douille pour assurer d’une part la connexion électrique et d’autre part la fixation mécanique. Il est indispensable d’adapter le type de douille au type de culot.  

C’est le flux de charge électrique (généralement négative) qui traverse une surface dans l’unité de temps. C’est une grandeur fondamentale du système international. Il se mesure en ampère.  

C’est la propriété d’une matière définie par l’intensité du rayon transmis, divisée par l’intensité du rayon incident.

C’est la propriété d’une surface définie par l’intensité du rayon réfléchi divisée par l’intensité du rayon incident.  

De l’œil ou des yeux. Amplitude angulaire de l’espace dans lequel se trouve un objet quand l’observateur regarde directement devant lui. Le champ peut être monoculaire ou binoculaire. 

C’est l’aptitude d’un appareil ou d’un système à fonctionner de façon satisfaisante dans son environnement électromagnétique et sans générer lui-même des perturbations électromagnétiques intolérables pour tout ce qui se trouve dans cet environnement.

C’est une classification adoptée par LightingEurope pour les ballasts des lampes et tubes fluorescents et des lampes sodium haute pression et halogénures métalliques en fonction de leur consommation. 

Pour un appareil électrique, caractérisation d’un niveau de protection électrique pour l’homme. Il existe quatre classes électriques : 

Matériel de classe 0 :

 Les matériels de classe 0 sont totalement interdits, dans toute utilisation professionnelle. 

Matériel de classe I :

Les matériels de classe I assurent une protection supplémentaire en reliant toutes les masses métalliques à une borne de terre, elle-même reliée au conducteur principal de protection de l’installation. Pour être correctement protégée, l’installation doit être reliée à une bonne prise de terre. 

Matériel de classe II :

Les matériels de classe Il, dits également « double isolation » ou « isolation renforcée », assurent une protection supplémentaire contre les chocs électriques dans les conditions normales d’utilisation. Les matériels, de par leur conception ou leur mise en œuvre, ne permettent pas d’entrer en contact avec les parties actives. Cés équipements ne sont pas raccordés à la terre. 

Matériel de classe III :

Ces matériels sont conçus pour assurer la protection contre les chocs électrique en limitant l’alimentation en très basse tension de sécurité (TBTS) ou très basse tension de protection (TBTP). Sur les chantiers, il faut choisir des matériels dont la tension nominale est inférieures ou égale à 25 volts en courant alternatif et 60 volts en courant continu.

C’est une lumière qui se dit peu opale, voir transparente.

C’est simplement l’unité de mesure SI de la luminance.

 Il s’agit d’une unité du SI (Système International) qui correspond à l’intensité lumineuse dans une direction donnée.  

Se dit d’une surface ayant des propriétés optiques de réflexion importantes et qui donne à cette surface un effet « miroir ».

Appelé également « Switch control », ce système de commande simple permet de gérer la gradation de l’éclairage à partir d’un simple interrupteur de type bouton poussoir.

Action de trier les LED produites selon leur flux, leur température de couleur et leur tension. Pour un « bin » de couleur déterminé, une qualité de lumière constante est garantie.

Luminaire installé sur une surface verticale (un mur par exemple). L’applique peut elle-même être installée horizontalement ou verticalement.  

 Il s’agit de la distribution lumineuse orientant le faisceau afin d’éclairer de manière plus intense dans la direction voulue, pour éclairer par exemple un tableau ou un mur.  

Il s’agit d’un appareil permettant de transformer le courant du réseau électrique de manière à le fournir, sous les paramètres appropriés de puissance et d’intensité aux sources lumineuses. On parlera de ballast pour les lampesf luorescentes et de driver pour les LED.

Protocole de gestion d’éclairage analogique, permettant de faire varier l’intensité des luminaires à partir d’une commande (potentiomètre, détecteur de présence, système de gestion). 

L’ULR (Upward Light Ratio) désigne le rapport entre le flux lumineux émis par un luminaire vers l’hémisphère supérieur et le flux lumineux total émis par ce luminaire, mesuré lorsqu’il est installé dans sa position normale d’utilisation.

Par exemple, un ULR de 0% signifie que l’émission de lumière vers le haut est nulle.

Conditions de gêne ou inconfort provoquée par des luminances ou des contrastes de luminances trop élevés.

Un détecteur de présence est un capteur qui émet une impulsion électrique lorsqu’un élément est en mouvement dans sa zone de détection et qui déclenche l’allumage d’un ou plusieurs luminaires.

DALI (Digital Adressing Lighting Interface). Protocole par lequel un signal transmis par une paire de câbles appelée bus est capable de gérer une installation de plusieurs luminaires. Le système DALI permet d’adresser individuellement les appareils qui appartiennent au système et d’avoir un retour sur le bon fonctionnement et le niveau de gradation des luminaires.

Appareil permettant de transformer le courant du réseau électrique de manière à le fournir, sous les paramètres appropriés de puissance et d’intensité aux sources lumineuses. On parlera de ballast pour les lampes fluorescentes et de driver pour les LED. 

Lumière blanche tirant vers le jaune orangé, ayant typiquement une température de couleur chaude inférieure ou égale à 3500 K.

Couleur blanche d’une source lumineuse avec une température de couleur comprise entre 3500 et 5000 K.

Lumière blanche tirant vers le bleu, ayant typiquement une température de couleur froide supérieure ou égale à 5000 K.